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Nicolas Verville

Initié.e - 3.

Elle dut m’aider à sortir de l’eau tant j’étais sonné. Mon slip avait disparu. J’étais nu et ça m’allait bien. Laurence s’allongea au soleil. 

— Qu’est-ce que tu es mignon. Tu t’occupes de moi maintenant ?

Je m’approchai d’elle à quatre pattes et l’embrassai. Il me semblait retrouver la saveur de mon sperme. Déjà la chaleur revenait. 

— Tu me trouves pas trop vieille ?

— Vieille ? Ah non, tu es…

— Dis-moi vous, appelle-moi Madame encore un peu, ou ma tante. Ça me plaît d’être une salope qui baise un petit garçon. Parce que tu vas me baiser, hein ? Allez commence par me foutre à poil. Le soutif d’abord. 

Au prix de quelques efforts, je finis par me débarrasser du soutien-gorge. La peau de ses seins en était plus blanche encore, les pointes rose pâle toujours érigées par le froid.

—  C’est ça lèche les bouts, tu peux les mordre aussi, doucement. L’autre aussi. Oui, comme ça c’est bien. Assez maintenant, enlève-moi ma culotte. 

La culotte me résista, je la déchirai. 

— T’as envie hein, petit salaud. Tu bandes pour Tatie ! Je parie que t’as jamais vu une chatte. Tiens regarde-bien, la mienne est plutôt jolie, non ? Non, tu touches pas avec les doigts, pas aujourd’hui. Avec la langue seulement. Allonge-toi, je vais te donner ton goûter. 

Je me retrouvai bientôt sur le dos, la vulve de Laurence à deux doigts de mon visage, comme une fleur rose et mouillée.

— Allez, lèche-moi, n’aie pas peur. Voilà c’est bien. Oui, la langue bien profond, ah, tu te débrouilles bien. Et là c’est le bouton, oui, tu me fais du bien. Oh putain, oui ! 

Je ne savais plus bien si je suçais le bon endroit, car elle frottait sa vulve sur mon visage de plus en plus vite, de sorte que mes joues et mon menton étaient trempés de son jus. Soudain, comme saisie par une urgence, elle se releva, se mit en position au-dessus de moi, saisit ma verge et la présenta à l’entrée de son vagin. Puis d’un seul mouvement elle se laissa descendre jusqu’à ce que ma hampe soit entièrement engloutie. Après le froid de la rivière, l’intérieur de sa chatte était brûlant. Je ne pus retenir un cri.

— Putain, quelle bonne queue… ah, tu me remplis à fond, petit salaud. Ah, c’est bon… tous les jours, tu vas me baiser, pas vrai ?

Elle me chevauchait avec ardeur, plantant ses griffes dans la peau de mon torse et de mes épaules. Je parvins à articuler : 

— Oui, ma tante.

— Ah, tu me tues… je viendrai la nuit, d’accord ?.. et le matin tôt, tu voudras ?

—  Oui, je voudrai tout le temps, c’est trop bon !

— Ah, je veux que tu me prennes partout… Dans la cuisine, dans la remise… Par terre comme une chienne… Tu sais, je suis une salope… Ah, je vais jouir… Toi, retiens-toi… va pas faire un petit frère… je vais te prendre dans ma bouche, tu veux ? 

C’est alors qu’une discussion entre garçons à propos de contraception me revint à l’esprit fort à propos.

—  Non, je veux vous enculer.

—  Quoi ? Tu veux…

—  Je vous la mets dans le cul. Pas de petit frère.

—  Oh, tu es fou. J’ai jamais pris quelque chose de plus gros qu’un doigt. Mais putain tu me donnes envie, tu sais. Allez, on essaie. 

Elle se mit à quatre pattes sur l’herbe, me présentant son cul bien cambré. Ma queue était si raide que j’eus du mal à lui donner le bon angle. Je présentai mon gland à l’oeillet rose de son anus et poussai fortement. Bien que ma verge soit toute gluante de cyprine, l’entrée résista. Mais il n’était pas question pour moi de reculer. J’administrai une forte claque sur la fesse de Laurence qui cria sous la surprise, et je repris mon assaut. Soudain, l’anneau étroit céda. Cinq centimètres de bite  entrèrent d’un coup. Laurence se remit à crier.

— Ah, tu me déchires le cul ! Vas-y, vas-y continue ! Ah ! Défonce-moi !

Ses encouragements étaient inutiles. Je me retrouvai bientôt dans son cul jusqu’aux couilles et je me mis à la pilonner sans merci. Elle ne disait plus rien mais poussait de longs gémissements, le visage perdu dans l’herbe. Enfin ma bite tressauta et je m’abandonnai en elle. 

Nous nous écroulâmes tous les deux, épuisés, trempés de sueur, maculés d’herbe et de boue. Je regardai mon sperme s’écouler doucement de l’anus dévasté de Laurence. Les vacances seraient belles.

Mais j’irais chez les Jèzes..

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